Derrière les récits de succès éclatants de Singapour se cache une épidémie de surperformants qui pleurent en privé, programment des crises de panique entre deux réunions, et découvrent que cocher toutes les cases de la société ne mène qu'à un vide coûteux. En France, où la pression pour l'excellence académique et professionnelle s'intensifie avec la concurrence mondiale, ce phénomène interpelle : il menace le bien-être des Français, risque d'alimenter le burn-out et appelle à repenser nos priorités sociétales pour préserver la qualité de vie tant chérie.